Malika Ferdjoukh

Née à Bougie (actuelle Béjaïa) en Algérie en 1957, Malika Ferdjoukh vit à Paris depuis l’enfance. Elle y suit des études de lettres, d’anglais et de cinéma à la Sorbonne avant de devenir, un temps, professeur des écoles, puis de se tourner vers la littérature de jeunesse et d’écrire, d’écrire tout le temps et par tous les temps… pour la télévision, la BD, les plus jeunes (Les Joues roses, la série des Club de la pluie, Minuit-Cinq…), les plus grands (Sombres citrouilles, la série des Quatre sœurs, celle des Broadway Limited…). Sa prédilection va au thriller, à ce qu’elle appelle le « noir sophistiqué », mais aussi – et beaucoup – à l’humour, aux références cinématographiques, aux clins d’œil littéraires.
Elle sait mieux que personne ce qu’est le compagnonnage des « classiques ». « Elle est stimulante, l’idée d’être accompagnée par des vigies amicales… », dit-elle dans Page des libraires. Pour la collection « Classiques », elle a traduit et abrégé Frankenstein, de Mary Shelley, et Les Quatre Filles du docteur March, de Louisa May Alcott.
Podcast Paroles de passeurs : Malika Ferdjoukh nous parle de
« Frankenstein »
Entretien avec Malika Ferdjoukh autour de sa tétralogie des « Quatre Sœurs » et des « Quatre Filles du docteur March »

« Les Quatre Filles du docteur March » dans la collection « Illustres Classiques » : une mise en images magnifiquement pensée

Malika Ferdjoukh raconte comment elle a abrégé « Les Quatre Filles du docteur March »
